L’ancien champion du monde a pris sa retraite, son avenir est avec les vélos électriques. Libre de tout engagement, il profite de sa nouvelle liberté de parole…
« J’étais sûr qu’Álvaro aurait été rapide avec la V4 R
», explique Marco
Melandri. « Je ne comprends pas comment il
est parti, après avoir remporté seize courses, ce qui est un énorme
record. Ce divorce montre que quelque chose ne va pas
dans la gestion de l’équipe officielle Ducati.
» L’ancien pilote de Ravenne a également expliqué
comment Álvaro Bautista a atterri en Superbike. «
Il avait signé un contrat 2018-2019 en MotoGP, il aurait donc dû
rester avec Aspar Martinez, si la structure espagnole n’avait pas
dû quitter la place sur la grille pour Petronas Yamaha. Ducati
devait donc en tout cas payer Bautista. C’est pourquoi ils lui ont
trouvé une place en Superbike, et c’est moi qui l’ai payé.
»
« Donc, mettre Bautista à ma place était plus une question d’argent », souligne Melandri. « La même chose s’est produite l’été dernier lorsque les stratégies 2020 ont été décidées. Ils ont laissé Bautista se rendre chez Honda pour économiser peu, je pense 200 000 €. » Marco suggère que le divorce pèsera et que poursuivre ensemble aurait été d’intérêt commun. Maintenant, il sera intéressant d’observer, à partir du samedi 29 février à Phillip Island, qui, entre Bautista et Ducati, aura perdu le plus…
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