pub

Telles les mauvaises herbes, ils se multiplient dans nos villes, venant s’adjoindre aux zones à 30 km/h et pour rendre les automobiles de moins en moins mobiles.

Mais, ce qui au volant est absorbé avec un relatif confort transforme parfois nos sportives en périlleuses motos de cross, surtout s’ils leur mauvais signalement les rendent quasi invisibles.

« Ils », ce sont les ralentisseurs qui, en théorie, doivent être construits selon une réglementation très stricte, à commencer par les 10 centimètres de hauteur maximale pour les dos d’âne. Hors la plupart d’entre nous a déjà pesté en découvrant au dernier moment un obstacle digne de la ligne Maginot récemment et hâtivement bâti, totalement illégal comme un tiers de ses frères selon une étude récente.

La lecture d’une synthèse technique publiée par « 40 millions d’automobilistes » est donc d’autant plus utile qu’ils ont mis en ligne une plate-forme de signalement des dos d’âne illégaux.

Prendre le temps de la lire pour dénoncer ces derniers semble être une action civique, au moment où les collectivités respectent de moins en moins la réglementation en vigueur.

Rappelez-vous : un dos d’âne ne doit pas dépasser 10 centimètres de haut, un ralentisseur plateau 15 centimètres avec des rampes de maximum 10% .

On en est parfois très, très loin…