Nous éprouvons toujours une admiration profonde pour le travail manuel effectué dans certaines régions du tiers-monde, alliant souvent courage, volonté, savoir-faire et ingéniosité, le tout trouvant presque toujours ses racines dans la nécessité.
En naviguant sur Youtube, on peut ainsi visionner comment on ressoude un vilebrequin cassé en deux, comment on retape une moto qui semblait irrémédiablement perdue, comment on répare une jante alu cassée ou comment on fabrique des jantes de camions en taillant dans l’acier des cargos démantelés…
Mais on peut aussi découvrir comment les vieilles plaquettes de frein sont récupérées au Pakistan avant d’être reconditionnées et revendues dans un emballage pimpant à la consonance britannique…
Et là, une sorte de malaise s’installe, non seulement de façon évidente au sujet de la qualité du produit final (dont personne ne voudrait réellement sur son véhicule en Europe), mais aussi, et peut-être surtout, quant aux conditions de travail des hommes et de l’enfant visibles dans la vidéo.
Des travailleurs courageux et astucieux dont « patron » de l’entreprise assume pleinement les conditions de travail, comme on peut le voir sur sa page Facebook…
Une raison de plus de se méfier des marques inconnues parfois proposées sur Internet !
Le même type d’article fabriqué en Europe :