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Le rideau est tombé sur le Grand Prix de France, mais avant le Grand Prix d’Italie qui sera la prochaine échéance au calendrier du MotoGP, les officines des coulisses restent ouvertes. On y a beaucoup discuté au Mans et après le résultat de la course sarthoise, les avis se sont affirmés, les convictions forgées, et les contrats ont commencé à être imprimés… Ou pas. Voici les derniers potins dont certains dépotent.

Commençons par ce qui devrait aller de soi : Jack Miller va avoir son contrat pour continuer sa vie en rouge en 2022, plus une option pour 2023. Ses deux victoires à Jerez et au Mans ont fait logiquement pencher la balance en sa faveur. Sur le même tempo, et au vu du parcours solide affirmé également en France, Johann Zarco devrait avoir le même quitus, en restant chez Pramac avec du matériel de dernier cri.

Ensuite, il y a ce que le tracé du Bugatti a révélé et ça concerne Petrucci. La cinquième place sous la pluie de l’Italien l’a remis dans le droit chemin et dans le bon sens chez KTM qui sera plus à son écoute. Son contrat de seulement un an connaitra une suite, ce qui est cependant encore loin d’être évident pour Iker Lecuona qui remonte pourtant la pente. Mais il va falloir faire plus avec Raul Fernandez qui se révèle de plus en plus en Moto2. Entre autres !

Et puis il y a le sensationnel… La démarche de Yamaha vers le VR46 et son allié saoudien Aramco avec des tarifs révisés à la baisse de ses M1 ne passe pas chez Petronas. Pendant ce temps, Morbidelli a juré qu’en 2022 il aurait une moto d’usine. Au milieu, Valentino Rossi qui, en restant évasif sur son avenir tout en donnant mine de ne pas s’occuper de ses troupes de Tavullia joue les mouches du coche…

Les potins Petronas Ducati Morbidelli sont lancés ! 

Voici la dernière théorie venue d’Italie : Franco Morbidelli pourrait piloter une Desmosedici ou une RS-GP l’année prochaine, quittant la M1 avec laquelle il est devenu vice-champion du monde la saison dernière. Il se retrouverait avec Bastianini comme équipier dans le cas d’une GP22. Et Rossi ? A la retraite ou avec les siens sur une Yamaha avec son frère Marini. Si le Doctor raccrochait son casque, Bezzecchi monterait d’un cran…

Potins Morbidelli

On termine avec Dovizioso qu’Aprilia attend, mais qui agace ses compatriotes. Dans un billet paru dans corriereromagna.it, on peut lire : « Andrea, semble se comporter comme une prima donna, devenue ex. Il n’y a pas de route vers Honda, Ducati, Yamaha, Suzuki et KTM. À l’horizon, nous voyons de jeunes pilotes forts, qui excitent déjà l’imagination et les désirs des managers et au-delà. Vous connaissez Pedro Acosta ? La génération de Dovi prend sa retraite : en dehors de Dani Pedrosa, Mika Kallio et Cal Crutchlow, il y a Jorge Lorenzo avec qui il a lutté durant une vie sportive qui profite de Lugano ou de merveilleux endroits exotiques. Luigi Dall’Igna, directeur technique de Ducati Corse, a choisi de ne plus croire en Andrea, car il considérait que le jeu ne valait plus la chandelle ». Et force est de constater qu’au vu des résultats actuels des officiels Ducati, on ne peut pas donner tort à celui que Johann Zarco surnomme avec affection « barbichette ».

 

 

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