MotoGP : Valentino Rossi explique pourquoi c’est sûr à 99,9% avec Petronas

Valentino Rossi a montré lors du test de remise en route à Jerez qu’il était toujours frais comme un gardon. La fournaise qui était de mise ne l’a pas liquéfié et, du haut de ses 41 ans, il est effectivement en mesure de prétendre à une autre campagne, à 42 ans. Le principe en est acquis au sein de l’équipe satellite Yamaha qu’est Petronas. Un passage de témoin se fera avec Fabio Quartararo, comme une passerelle entre deux générations. Mais ce n’est pas encore signé pour le Doctor. Il explique pourquoi…

Valentino Rossi attaquera en 2020 sa 25^ème saison en Grand Prix. Tout est en place pour que la série se poursuive. Après les rumeurs de ces derniers jours, le Doctor a décidé de faire le point, et c’est la première fois qu’il s’est exprimé directement sur le sujet… « C’est très proche, mais je n’ai pas encore signé même si je serai là à 99,9% l’an prochain. Je veux continuer et j’ai déjà parlé avec Yamaha et Petronas et j’ai de bons sentiments », a déclaré la légende italienne lors de la conférence de presse après le test de Jerez.

« Le contrat que je vais signer ne sera que pour 2021 »

Il ajoute : « nous parlons de la structure que j’aurai avec moi. Finalement, Quartararo et moi échangeons nos positions et nous devrons voir qui j’emmène avec moi. David Muñoz mon chef mécanicien est sûr de venir avec moi, mais je n’en sais pas encore plus ». Un fois dans le team officiel Yamaha, Fabio Quartararo gardera donc son chef mécanicien actuel Diego Gubellini…

Une autre chose qui est claire pour Valentino Rossi est que désormais le contrat sera annuel, et non plus biennal… « Le contrat que je vais signer ne sera que pour 2021. L’année suivante, pendant les vacances d’été, je déciderai de continuer ou non une autre année ». Une réflexion qui se fera aussi sur la base de ce qu’il ; a ressenti lors du confinement… « Je n’ai jamais passé une aussi longue période de ma vie sans compétition. J’étais inquiet d’être à la maison et de ne pas ressentir la pression des courses, mais d’avoir une vie normale, j’aimais aussi. Je me sentais bien ». A suivre…