Lors de la deuxième journée de test MotoGP au Qatar, on a dénombré plusieurs chutes dès l’arrivé de la nuit, dont Jack Miller, Miguel Oliveira et Joan Mir.
Même scénario le lendemain avec Valentino Rossi et Pol Espargaró. Ou plutôt non, pas le même scénario !
Explications…
Le deuxième jour, les pilotes ont effectivement été surpris par l’arrivée de l’humidité, bien plus tôt que d’habitude. C’est d’ailleurs pour éviter cela que le Grand Prix du Qatar a été avancé de 2 heures cette année. Visiblement, certains jours, cela ne suffit pas, car parfois l’humidité arrive sans prévenir et c’est bien ce qui fera une des difficultés de cette première confrontation de la saison 2020.
Le troisième jour des essais, il n’y avait aucune condensation et les pilotes précédemment cités sont tombés simplement par excès de fougue.
Alex Briggs, l’un des trois fidèles mécaniciens de Valentino Rossi, vous montre la différence en images.
Vidéo du deuxième jour : la condensation est présente sur les
caisses de transport. Touchant le bitume, Alex Briggs précise
: « vous ne pouvez pas vraiment la sentir, mais elle est
là. »
Vidéo du troisième jour : aucune condensation.
Ok and this was tonight (last night of the test) pic.twitter.com/aDHDjNV4jA
— Alex Briggs (@Alex__Briggs) February 24, 2020
Qu’en sera-t-il pour le Grand Prix, dimanche 8 mars ? Bien malin celui qui pourra répondre…