C’est un sujet sensible que toute étincelle de rumeur enflamme instantanément. Il s’agit de l’avenir de Valentino Rossi que l’on dit depuis des lustres écrit dans le team satellite Yamaha qu’est Petronas. Mais il n’est pas pour autant gravé dans le marbre, puisque, à ce jour, aucun contrat n’a été signé. Et, apparemment, ça ne se fera pas à Misano, qui aurait été pourtant le lieu idéal. Alors, un doute s’est comme installé et il a rencontré un Andrea Dovizioso à la recherche d’un bon guidon au sortir de son épopée avec Ducati. Il n’en fallait pas lus pour faire des associations…
Et cette association a donné un Valentino Rossi toujours commotionné par son dernier Grand Prix d’Autriche où il a vu les débris de la Yamaha de Morbidelli le frôler. De quoi se dire qu’il est temps de partir. Une conviction qui ouvrirait la porte à Andrea Dovizioso, à la recherche d’un bon guidon pour poursuivre une carrière qu’il ne veut voir avec une moto rouge et italienne.
A la veille de deux Grands Prix à Misano, la perspective a fait grand bruit. Suffisamment pour amener le patron des couleurs Petronas Razlan Razali à s’en mêler pour déclarer : « pour remettre les pendules à l’heure, nous ne considérons pas du tout Dovi pour 2021 ». Le ton est ferme. On en reste donc à l’hypothèse Valentino Rossi… Avec Franco Morbidelli.