Le MotoGP s’apprête à débuter, et pour Pedro Acosta, cela marque un moment très spécial alors qu’il fera ses débuts officiels en tant que pilote après avoir été sacré champion du monde Moto2. Une occasion qu’il considère comme très spéciale, d’autant plus qu’il la vivra avec une équipe avec laquelle il entretient un lien très fort.
Pedro Acosta a fait forte impression lors des essais hivernaux et se sent maintenant prêt à affronter la première course du MotoGP 2024, le Grand Prix du Qatar. Le champion Moto3 2021 et Moto2 2023 prendra le guidon de la RC16 du Team GASGAS Tech3, avec laquelle il s’est immédiatement senti à l’aise.
Dans ses propos, le « requin de Mazarron » exprime son excitation à l’idée de débuter une saison qui s’annonce exceptionnelle pour lui. Il souligne la bonne entente qu’il a avec son équipe depuis le début, et les essais au Qatar ont renforcé leur confiance en vue de la première course. Leur objectif est désormais de continuer à s’adapter et à comprendre progressivement le fonctionnement de la moto.
« Au contraire de Marc Marquez, Pedro Acosta est un pilote qui n’aime pas tomber »
« Les essais au Qatar nous ont beaucoup aidés à nous rapprocher de la première course de la saison, donc nous avons un bon sentiment. Notre objectif est de continuer à nous adapter et à comprendre petit à petit le fonctionnement de la moto ». Acosta conclut avec enthousiasme : « Allez, commençons ! »
Certains comparent déjà Pedro Acosta au légendaire Marc Marquez, mais Jorge Lorenzo émet des nuances à cette comparaison. Selon lui, Acosta est différent de Marquez : « Marquez était un tourbillon d’agressivité et de prise de risque. Il voulait gagner en toutes circonstances et à tout prix ».
En revanche, Acosta adopte une approche plus contrôlée, conscient du risque mais tout aussi talentueux. « Acosta est un pilote qui n’aime pas tomber » signale Por Fuera. Lorenzo reconnaît qu’Acosta semble être la prochaine star du MotoGP, mais il souligne également l’émergence rapide de jeunes talents comme Fermin Aldeguer, rappelant ainsi la nature imprévisible du monde des Grands Prix.
