MotoGP Qatar : Franco Morbidelli a le vent en poupe

Franco Morbidelli est un vice-champion du monde en titre qui se présente sur la ligne de départ de la saison 2021 MotoGP avec l’intention de gagner une place au classement général par rapport l’exercice précédent. Au vu de son parcours récent, ses ambitions sont légitimes et le fait qu’il soit dans une équipe satellite avec une Yamaha qui ne sera pas de la dernière génération ne baisse pas sa côte. Pendant l’intersaison à Losail, il a été aux avant-postes. Ce qui tombe bien puisque le même circuit se présente à lui ce week-end pour entamer sa campagne.

Franco Morbidelli aborde cette saison 2021 MotoGP dans la peau d’un des favoris pour le titre. C’est dire le chemin parcouru depuis l’an passé par l’académicien VR46 qui va avoir l’honneur et le plaisir de partager son box Petronas avec un nouvel équipier qu’il connait bien : Valentino Rossi.

Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes pour l’italo-brésilien qui compte bien capitaliser sur cette bonne dynamique : « je pense que nous sommes prêts pour la première course de la saison », a confirmé « Francky ». « Nous avons travaillé dur lors des tests, essayé plusieurs choses, puis nous nous sommes concentrés sur la configuration de la moto pour le circuit du Qatar. La configuration est presque parfaite. Vous pouvez toujours trouver quelque chose à améliorer, mais je pense que nous avons une très bonne base ».

Franco Morbidelli n’a jamais fait un top 10 au Qatar en MotoGP

« Pour montrer une bonne course au Qatar, il faut être rapide, avoir un bon rythme, être constant et comprendre quel pneu est le bon », a déclaré Morbidelli, qui a remporté la course Moto2 à Losail en 2017. Dans la catégorie MotoGP, en revanche, il n’a jamais été dans le top 10.

Après trois victoires l’an dernier, cela devrait changer : « il est difficile de dire quel devrait être l’objectif car nous n’avons fait que tester que jusqu’à présent, mais mon objectif est d’être dans le top 5 et de me battre pour le podium. Nous pensons que c’est possible », a souligné le pilote Petronas Yamaha, 26 ans. « Nous ne verrons pas où nous en sommes avant dimanche ».