MotoGP Portugal J3, Joan Mir pointe Pecco Bagnaia du doigt : « à mon avis, Marc Marquez n’était pas en tort »

Joan Mir, le compétiteur de Repsol Honda, a partagé ses réflexions après un Grand Prix du Portugal exigeant, où il s’est lancé depuis la vingtième place. Malgré un départ loin derrière, Mir a maintenu une perspective positive, notant les améliorations apportées à la machine Honda. Au cours de son évaluation, il a également abordé le controversé accrochage entre Pecco Bagnaia et Marc Marquez, offrant une perspective éclairée sur cet incident.

« J’ai vu l’incident. Ce genre de chose arrive souvent en course » commente le Champion du Monde 2020 de MotoGP. « Lorsqu’on dépasse quelqu’un, et que cette personne accélère ensuite, il y a contact. Si vous êtes chanceux, vous pouvez reprendre votre place sans provoquer d’accident ».

Joan Mir : « il s’agissait clairement d’un incident de course »

« Mais dans ce cas précis, il s’agissait clairement d’un incident de course, sans faute majeure de part et d’autre. Néanmoins, ils ont fini par chuter, et bien que je ne pense pas que des pénalités soient nécessaires, à mon avis, Marc n’était pas en tort. Il se trouvait à l’extérieur, et quand Pecco a accéléré, ils se sont touchés », explique Mir.

Il poursuit en soulignant que, bien que ce genre d’accidents soit regrettable, ils font partie intégrante de la compétition. « En tant que pilote, vous devez anticiper ces incidents lorsqu’un concurrent vous dépasse puis accélère. Ce n’était, à mes yeux, qu’un malheureux accident. Bien sûr, j’aurais été frustré si j’avais été impliqué. Mais après réflexion, c’est ce qui fait la beauté de notre sport. Nous ne devrions pas limiter ces moments de confrontation, car c’est ce qui passionne notre métier et ce que nous aimons faire » conclut l’officiel Honda.

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Crédit classement motogp.com