Les pilotes prennent leurs quartiers du côté de Sepang, site qui sera le théâtre de la rentrée des pilotes officiels dans cette année 2019. Ceci pour une série de tests qui sera le préliminaire d’une saison promise pour être explosive. A tous les étages, jamais les enjeux n’auront été aussi grands. Beaucoup, pour réussir, retiendront les leçons passées. Et Marc Márquez en a notamment retenu une…
Marc Márquez ne sera pas à 100% de ses énormes moyens lorsqu’il reprendra le guidon de sa Honda. Et cette situation devrait perdurer jusqu’au rendez-vous de Jerez… Pour autant, l’officiel Honda sera l’homme à battre, même diminué. Chaque année, il s’aguerrit encore un peu pus, ce qui le rend plus difficile à maîtriser. Pour ce millésime, il part avec une expérience du précédent…
Cette expérience, il la livre sur Marca, et elle concerne Valentino Rossi : « j’ai déjà tendu la main une fois à Valentino Rossi. Je la lui ai déjà présentée, non ? Eh bien, c’est tout. Vous le faites une fois et c’est tout. À aucun moment, je n’ai de rancune ou quoi que ce soit du genre. Quand on me le demande, je le dis: j’admire ce qu’il fait et j’aimerais le faire moi-même à 40 ans. Arriver à 40 ans et être l’un des noms favoris pour le titre de 2019, chaque pilote en rêverait. C’est la moindre des choses, et ce sera un rival sur la piste ».
Mais il ne le sera pas le seul : « je n’ai pas l’obsession de battre un adversaire en particulier. Ce serait contre-productif. Concernant Lorenzo, je pense qu’il sera un candidat pour le titre. Jusqu’en 2013, nos relations étaient tendues ; Mais c’est à présent différent. Par exemple, après l’incident d’Aragón l’an dernier, on s’est parlé très vite au téléphone. Il est aujourd’hui mon coéquipier. C’est aussi le premier adversaire à battre. Ensemble, nous augmenterons le niveau de compétitivité de l’équipe ».
Marc Márquez sera le seul officiel Repsol Honda à travailler en Malaisie à partir du 6 février, puisque Por Fuera se remet d’une opération au scaphoïde.
