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Paolo Campinoti Pramac

Avec cette insistante rumeur venue d’Italie au sujet de l’avenir du team Pramac, on constate que le monde du MotoGP est en pleine transformation. Avec l’arrivée de Liberty Media à l’horizon 2027, on s’attend à une révolution qui pourrait redessiner les alliances entre les équipes et les constructeurs. Parmi les mouvements stratégiques les plus scrutés, celui du Team VR46 de Valentino Rossi, qui, contre toute attente, semble se rapprocher de Ducati, laissant Yamaha et Lin Jarvis dans l’incertitude mais plongeant aussi le team Pramac dans une réelle perplexité…

En MotoGP, si on vit intensément la saison, on a déjà le regard porté sur l’horizon 2027… 2027 ? Oui. Car le MotoGP s’apprête à entrer dans une nouvelle ère, avec de grands changements à venir sous l’impulsion de Liberty Media, nouveau propriétaire du championnat. Ce tournant promet une refonte de la compétition, visant une plus grande équité entre les équipes et potentiellement l’arrivée de nouveaux constructeurs. Dans ce contexte, les équipes clientes jouent un rôle crucial dans leur alliance avec les constructeurs, et deux scénarios émergent pour l’équipe Prima Pramac, actuellement en fin de contrat avec Ducati.

Selon l’expertise de SkySports.it, d’une part, Prima Pramac pourrait renouveler son engagement avec Ducati pour deux années supplémentaires, même si cela pourrait signifier une absence de perspectives au-delà de 2027. D’autre part, l’équipe pourrait saisir l’opportunité de devenir l’équipe satellite de Yamaha dès 2025, promesse d’un avenir plus stable et potentiellement plus prospère.

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Cette période de transition est marquée par l’incertitude, mais aussi par l’espoir de revitaliser la compétition. Le partenariat entre le Team VR46 de Valentino Rossi et Ducati se renforce, évinçant Yamaha qui, surprise et déçue, doit revoir ses plans. Le VR46 semble désormais destiné à devenir le partenaire privilégié de Ducati, une collaboration soutenue par le sponsor Pertamina.

Pour Prima Pramac, le dilemme est de taille. Renouveler avec Ducati signifierait profiter de l’expertise et de la qualité de l’équipe dirigée par Gino Borsoi, tout en restant conscient des limites à long terme de cette alliance. Opter pour Yamaha, en revanche, ouvrirait la voie à des avantages techniques et économiques significatifs, avec la possibilité d’attirer de nouveaux talents, ou le retour d’anciennes gloires … En effet, dans cette tornade de changements, Andrea Iannone, récemment revenu en Superbike après une suspension pour dopage, refait surface comme une éventuelle recrue pour Pramac, quel que soit le constructeur …

Quel que soit le choix de Prima Pramac, cette décision entraînera des répercussions importantes sur l’avenir du MotoGP, illustrant la complexité des enjeux sportifs et économiques du championnat. Les équipes et les pilotes sont face à des choix stratégiques, parfois difficiles, mais essentiels pour façonner l’avenir de la compétition.

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