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Le week-end passé, à Misano, pour le Grand Prix de Saint Marin, il n’a échappé à personne que les pilotes de la VR46 Académie ont été à l’honneur. Tant en Moto2 qu’en MotoGP, ils ont enlevé non seulement la victoire mais pris les deux premières places du podium. L’air du pays les a donc revigorés et comme « boostés » leur détermination. Mais il n’y a pas eu que ça. Jack Miller explique…

Jack Miller était bien parti pour son Grand Prix de Saint Marin en s’affirmant comme le chasseur des deux Yamaha de tête sur sa Ducati. Devant, Valentino Rossi et Franco Morbidelli se tiraient la bourre devant un public clairsemé certes, mais présent tout de même. Des locaux de l‘étape, comme les duellistes.

Puis l’Australien a dû se calmer pour préserver ses pneus. De quoi se laisser remonter par son équipier Pecco Bagnaia qui n’est pas non plus un inconnu des lieux. Au bilan Valentino Rossi a fini quatrième, Bagnaia second et Morbidelli vainqueur. Que des pilotes de la VR46 Académie, cette même structure qui venait de fêter un doublé en Moto2 avec Luca Marini et Bezzecchi.

« Moi, je ne peux pas tourner à Phillip Island »

La magie de jouer à domicile ? Pour Jack Miller, c’est moins mystique que ça… « Que puis-je dire, ils ont de la chance de pouvoir rouler toute l’année à Misano. Malheureusement, je ne peux pas aller à Phillip Island ».

Dimanche, Misano offrira un nouveau Grand Prix. Si l’on suit l’idée de Jack Miller, tous les pilotes devraient cette fois se retrouver sur le même pied d’égalité. Nous verrons alors quelle est la tenue des pilotes de la VR46 Académie pour évaluer quel était leur avantage de la connaissance du tracé lors du Grand Prix de Saint Marin…

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