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Marco Bezzecchi

Marco Bezzecchi a fixé son horizon 2024 et il a donc maintenant l’esprit libre pour vivre à fond une compétition dont il est un des favoris cette saison. Il est revenu sur son choix de rester au sein de la VR46, en révélant que la force de persuasion et l’aura d’un Valentino Rossi qui est son patron ont eu une attraction plus forte que la proposition d’une usine Ducati pur laquelle beaucoup d’autres de ses collègues se damneraient en ce moment …

Avec Marco Bezzecchi et la VR46, on constate que la course moto reste toujours une aventure humaine, capable de séduire plus qu’un statut de pilote MotoGP d’usine. Car si l’on écoute Marco Bezzecchi sur sa décision de décliner l’offre Ducati d’une moto officielle, c’est d’abord le cœur qui a parlé, plus que la tête. Avant de se lancer dans la mêlée catalane de ce week-end il a ainsi déclaré : « dire non à la moto officielle n’a pas été facile, mais Ducati nous soutient quand même. Nous avons leur soutien, ils essaient toujours de nous aider et de nous prodiguer des conseils, jusqu’au dernier moment avant la course, pour avoir les meilleures performances possibles. Je suis sûr que ce support sera toujours là ».

Marco Bezzecchi : « de mon point de vue, l’aspect humain de l’équipe est important »

Il ajoute : « ce n’était pas facile de choisir de renouveler avec Mooney. Quand il y a la possibilité d’avoir une moto officielle, il faut la prendre en considération. Mais honnêtement, de mon point de vue, l’aspect humain de l’équipe est important. Au fil des années, j’ai construit une relation très forte avec les gars de mon équipe, pour moi c’est important, je n’étais pas sûr de pouvoir construire une autre relation comme celle-là en si peu de temps ».

Et il y a aussi eu ça : « voir que Rossi s’intéressait tellement à moi, cela m’a poussé à rester, c’était important pour moi. Vale est Vale, il croit en moi depuis de nombreuses années, je ne serais pas arrivé ici sans cette équipe ».

Reste maintenant à se remettre à la compétition : « Barcelone est une piste que j’aime beaucoup, l’année dernière j’étais compétitif mais malheureusement j’ai chuté. J’espère aller aussi vite qu’en Autriche, en profitant de la moto ». Il mentionne aussi : « je n’ai jamais couru à Barcelone sur le mouillé, peut-être que c’est comme en Argentine, où il y a un bon grip quand il pleut, on verra ».

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