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Marc Marquez

Tant bien que mal les troupes du MotoGP arrive au Japon en fonction des humeurs d’un super typhon, mais la tempête continue à souffler sur Marc Marquez après l’accrochage du départ du Grand Prix d’Aragon. Il y a ceux qui pensent que l’officiel Honda en a trop fait et notamment lors du second accident où il n’aurait pas assez tenu compte de sa machine endommagée quelques virages plus tôt par un premier choc avec Fabio Quartararo. Parmi eux un pilote aguerri et encore en fonction qui a vu la scène de près, Johann Zarco. Et il y en a d’autres qui évaluent les événements comme de regrettables faits de course qui ne peuvent engagés la responsabilité de l’octuple Champion du Monde. Parmi eux, un pilote retraité, ancien Champion du Monde de WSBK et de MotoGP…

Et c’est ce point de vue dont il va être question ici. Ben Spies est celui qui pèsera de son poids dans la balance pour la faire ramener au moins à l’équilibre et au mieux en faveur de la version que Marc Marquez n’a pas fait grand-chose de mal dans les deux accidents du départ du Grand Prix d’Aragon, ne subissant que la dynamique des événements. L’Américain prend ainsi le contrepied d’un Chicho Lorenzo qui a pourtant vu les mêmes images que Ben Spies, mais en décrivant une scène différente…

Ben Spies répond aux pourfendeurs de Marc Marquez : « il existe les échecs ou les dames pour les gens qui ne peuvent pas comprendre« 

On se souviendra que le père de Jorge Lorenzo a constaté un Marc Marquez qui perdait le contrôle. Voici ce qu’en dit Ben Spies sur son réseau social : « après avoir lu les commentaires sur la course, je ne fais que secouer la tête » écrit-il. « Marquez fait face au virage 3 et Aleix s’élargit sur Enea, il tente alors d’en profiter, mais perd l’arrière à cause du pneu froid ce qui le pousse à le contrôler en fermant l’accélérateur, pour ceux qui ne comprennent pas. Puis il se fait frapper par derrière quand Quartararo ne peut pas voir Marquez de son côté, et je ne le blâme pas ».

Il termine : « c’est un épisode, une circonstance malheureuse, tout comme la roue avant de Takaaki, qui a atterri de travers après un wheeling, dirigeant le Japonais vers Marc. Il existe les échecs ou les dames pour les gens qui ne peuvent pas comprendre. C’est une course, pas la politique ». En tout cas, le retour de Marc Marquez en MotoGP n’est pas passé inaperçu…

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