MotoGP, Australie J1 : oies, lapins … Les pilotes sont confrontés à des animaux sur la piste de Phillip Island

Ce vendredi, le Grand Prix MotoGP d’Australie a été marqué par des incidents inattendus, avec plusieurs perturbations impactant les essais à Phillip Island. La première séance d’essai libre a été annulée en raison de fortes pluies et d’eau stagnante sur la piste. Ensuite, la séance a été interrompue pendant plusieurs minutes en raison d’une situation inhabituelle : une oie a envahi la piste, forçant les organisateurs à brandir le drapeau rouge pour assurer la sécurité des pilotes.

Cet incident n’était pas isolé, car plus tôt dans la journée, un autre problème similaire s’était produit lors de la première séance d’essai Moto2, où un groupe d’oies avait également pris part à l’action en pénétrant sur la piste. Jorge Martin a également eu une rencontre surprenante avec la faune locale lorsqu’il a croisé un lapin en revenant vers les stands…

« Je pense que c’était un lapin, car il était très gros, » a plaisanté Martin après l’incident. « Heureusement, j’allais lentement parce que je retournais aux stands, mais la vérité est qu’il y a beaucoup d’animaux ici à Phillip Island. »

Aleix Espargaró : « je ne sais pas comment il est possible que cela se produise encore en Australie, espérons que rien de mauvais n’arrive »

La nature et la faune environnantes sont des éléments bien connus du circuit australien, mais ces incidents inattendus ont soulevé des inquiétudes en matière de sécurité. Aleix Espargaró, pilote Aprilia, n’a pas hésité à critiquer la situation, exprimant son étonnement face aux intrusions d’animaux sur la piste …

Il dit : « pour moi, il est vraiment difficile de comprendre que cela se produise. C’est vraiment incroyable. Je ne sais pas comment il est possible que cela se produise encore ici. Mais c’est année après année, alors espérons que rien de mauvais n’arrive. »

Ces événements inattendus ont ajouté une touche de surprise à une journée déjà perturbée par les conditions météorologiques imprévisibles, illustrant une fois de plus la nature unique et sauvage de Phillip Island, tout en posant question sur la sécurité des pilotes.

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