Le bilan global de ce point sur les moteurs MotoGP entre Aragon et Motegi est que personne n’est vraiment en danger de se retrouver obligé de faire sceller un moteur supplémentaire, ce qui lui vaudrait un départ depuis la pit-lane.
Les constructeurs, qu’ils soient Suzuki et Aprilia avec leurs 9 moteurs alloués par pilote ou les autres avec 7, ont donc bien géré le duo réglementation/fiabilité technique.
Le pilote le plus « juste » en ce domaine est Yonny Hernandez, qui ne dispose plus de moteur neuf en réserve, alors que les plus confortables sont les deux pilotes Yamaha Monster Tech3, qui en disposent encore de trois.
Même Valentino Rossi, qui a dû retirer un moteur au Mugello, a de ce point de vue rattrapé son retard sur son coéquipier, puisque les deux pilotes Movistar Yamaha ont tous les deux inauguré leur avant-dernier moteur neuf à San Marino.