Après une débâcle vécue à Assen, Dani Pedrosa pourrait se diriger plein d’espoir vers un un Sachsenring qui l’a consacré six fois dans sa carrière. Dont à quatre occasions en MotoGP. Certes, mais, d’une part, la dernière réalisation remonte à 2012 et, d’autre part, les nouveaux pneus Michelin savent réserver des surprises. Très bonnes ou très mauvaises. Alors quand, en plus, un nouveau revêtement s’en mêle…
Dani Pedrosa a bu la tasse aux Pays-Bas mais n’a pas perdu pied au championnat. La chute de Maverick Viñales a limité les dégâts et le voilà à présent cinquième au général provisoire, à 17 points de son équipier Marc Márquez et à 28 longueurs du nouveau leader Dovizioso sur Ducati.
Le Grand Prix d’Allemagne qui pointe s’annonce comme une possibilité de reprendre l’offensive. Jamais le HRC n’a en effet connu la défaite sur le Sachsenring, de 2010 à 2016. Excusez du peu ! Oui, mais cette année, le revêtement a été refait… « C’est l’un de mes circuits favoris, et on y va pour y faire la meilleure course possible. Mais honnêtement, cette année, je ne sais pas à quoi m’attendre ».
« Ils ont refait le revêtement alors il est difficile de faire des prévisions. Espérons que nous aurons de bonnes sensations tant avec la moto qu’avec les pneus. On travaille bien avec l’équipe et on fait les choses bien. Il faut continuer ainsi et comprendre comment il faut tirer le meilleur de ces pneus dans toutes les situations ».
« Le championnat est serré et tout reste ouvert. Il me tarde de grimper sur ma moto vendredi pour travailler au meilleur résultat dimanche ».