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Après les contrôles concernant les substances illicites, qui sont effectués de façon épisodique et complètement aléatoire, que ce soit sur un circuit ou au domicile des pilotes, la FIM étend progressivement les alcootests pour les compétitions motocyclistes en général, et le MotoGP en particulier.

Il est précisé que les commissaires de la FIM feront un tirage au sort entre les pilotes et en choisiront au moins trois pour passer les tests éthyliques. Les concurrents ne devront pas pas dépasser 0,10 g / litre en soufflant dans un alcootest. Si la valeur est à zéro, les choses en resteront là. Si ce n’est pas le cas, un nouveau contrôle plus précis aura lieu après 15 minutes, comme cela se pratique sur la route.

Les pilotes pourront être convoqués pour le test de 12 heures avant la course et jusqu’à une demi-heure après celle-ci, à l’exception de ceux qui sont sur le podium, afin que la tradition de boire une gorgée de champagne puisse être respectée.

Dans le cas improbable où des pilotes obtiendraient un résultat positif, ils seraient immédiatement exclus de l’événement dans lequel aurait été effectué le test, et seront sanctionnés provisoirement en attendant une sanction ultérieure. La Cour Disciplinaire Internationale décidera plus tard si elle impose une suspension qui peut aller de neuf à 18 mois, selon les circonstances aggravantes et/ou atténuantes. Le seul recours est à la Cour d’Arbitrage du Sport (TAS).

Si un pilote décide de ne pas exécuter passer le test, il sera sanctionné automatiquement en étant exclu de l’événement, en attente de nouvelles pénalités.

Voir le règlement complet (en anglais, page 149)