Quelques heures ou quelques jours après l’arrivée d’une course, le site officiel MotoGP.com diffuse généralement des passages non vus en direct.
Cela a encore été le cas lors du Grand Prix à Assen où les caméras de Dorna Sports ont enregistré plusieurs moments intéressants.
Vous pouvez visionner cette vidéo gratuitement sur MotoGP.com et nous vous en proposons la traduction suivante.
En route vers le podium :
Fabio Quartararo (à Joan Mir et Maverick Viñales) : « Cette course est très longue, hein ? »
Maverick Viñales : « Oui. »
Joan Mir : « On ne dirait pas, mais cette piste est très fatigante. »
Maverick Viñales : « Oui, et la moto bouge beaucoup quand tu es derrière les autres pilotes. »
Joan Mir : « Et tout le monde louvoie beaucoup dans les virages rapides. Et encore plus derrière les autres. À cause du vent, non ? »
Maverick Viñales : « Encore une chose qui change beaucoup quand je suis seul. »
Joan Mir : « La moto bouge beaucoup dans le virage six. »
Maverick Viñales : « Derrière les autres, non ? »
Joan Mir : « Pour moi, encore plus quand je suis seul. »
Fabio Quartararo : « Pecco me mettait 3/10 dans la ligne droite à chaque tour. Vroummmmmm… »
Fabio Quartararo arrive à son box :
Diego Gubellini : « Ça a été dur, n’est-ce pas ? Tu as été intelligent parce que au début tu étais trop rapide au virage 15… Non, au virage 12. »
Fabio Quartararo : « Oui, et ensuite je suis arrivé comme ça “whouuu”. A un tour, j’ai touché Viñales. »
Mécanicien : « Tu l’as touché ? »
Fabio Quartararo : « Oui. »
Lin Jarvis : « Ça a été dur ? »
Fabio Quartararo : « Oui, très dur. Ça a été dur parce que derrière les Ducati j’ai essayé plusieurs fois au virage 12, à l’extérieur, mais ce n’était pas possible. Puis, pendant un tour, je me suis dit que je laissais beaucoup de mètres pour vraiment avoir de la vitesse. Mais ensuite je me suis dit que si je restais derrière, je pouvais le passer à l’intérieur. »
Lin Jarvis fait alors le signe d’être » à la gorge « .
Fabio Quartararo : « Puis, quand j’ai plongé, j’étais « Ahhhhh ! ». Mais quand j’ai eu 1,6 secondes d’avance, j’ai roulé tout en douceur. »
Lin Jarvis : « Vers la fin, tu as fait quelques erreurs. J’ai vu 0,7, 0,4… »
Fabio Quartararo : « Oui ! »
Fabio Quartararo : « Oui, j’ai élargi au virage six et j’avais beaucoup de mouvements dans le 12. Je n’avais plus de freins donc j’ai perdu un petit peu. Puis, quand j’ai vu Maverick revenir, j’ai poussé un peu plus. »
Lin Jarvis : « Super ! »
Fabio Quartararo : « Merci ! »