Le Français a rallié l’arrivée de la deuxième course à
Buriram en 12e position.
Loris Baz, qui occupait la 15e place sur la grille de départ
de la deuxième manche de l’épreuve thaïlandaise du calendrier, a
connu quelques difficultés en début de course, en particulier avec
l’électronique et l’avant de sa BMW S1000RR. Après s’être
défait de certains de ses adversaires, le pilote tricolore est
ensuite parvenu à conserver l’avantage sur Román Ramos tout en se
lançant à la poursuite du groupe qui le précédait.
Passé le cap de la mi-course, Loris Baz, qui accusait un peu
moins d’une seconde sur Yonny Hernández, a réussi à prendre le
dessus sur Jake Gagne pour arracher la 12e place à trois tours du
drapeau à damier.
Avec 21 points affichés au compteur, Loris Baz se maintient au
neuvième rang du classement général avant le retour du WorldSBK en
Europe du 13 au 15 avril sur l’emblématique circuit d’Aragón.
Loris Baz (Course 2 — 12e) :
« Le bilan est pire que la veille selon moi. Nous avons essayé un set-up différent au warm-up, lequel semblait encourageant. J’ai raté mon départ, mais je n’ai pas tardé à remonter au premier tour. Je manquais de grip à l’avant alors que c’était notre point fort durant la première manche, avec le moteur. De même, quand je me battais dans le groupe, la moto avait tendance à surchauffer et à perdre de la puissance. C’était très compliqué en début de course, mais, au fur et à mesure que le pneu arrière se détériorait, j’ai réussi à revenir et à accrocher quelques points. Après une première journée positive, nous ne sommes pas parvenus à progresser ensuite, en particulier au sujet de l’électronique. Un capteur s’est également cassé en course et a perturbé le fonctionnement du boîtier, compliquant davantage la situation. Tous nos adversaires ont quant à eux nettement progressé, tandis que nous évoluons avec des réglages similaires à ceux de l’an dernier et cela n’est pas suffisant. C’est frustrant, mais j’ai donné le meilleur de moi-même sur la moto et je n’ai rien à regretter. Ce n’est clairement pas la place où nous devons terminer. En Aragón, nous travaillerons d’arrache-pied pour trouver des solutions. Des essais seront prévus après le rendez-vous à Assen durant lesquels nous testerons de nouveaux éléments, mais d’ici là, nous devons nous armer de patience. »
« Le bilan est pire que la veille selon moi. Nous avons essayé un set-up différent au warm-up, lequel semblait encourageant. J’ai raté mon départ, mais je n’ai pas tardé à remonter au premier tour. Je manquais de grip à l’avant alors que c’était notre point fort durant la première manche, avec le moteur. De même, quand je me battais dans le groupe, la moto avait tendance à surchauffer et à perdre de la puissance. C’était très compliqué en début de course, mais, au fur et à mesure que le pneu arrière se détériorait, j’ai réussi à revenir et à accrocher quelques points. Après une première journée positive, nous ne sommes pas parvenus à progresser ensuite, en particulier au sujet de l’électronique. Un capteur s’est également cassé en course et a perturbé le fonctionnement du boîtier, compliquant davantage la situation. Tous nos adversaires ont quant à eux nettement progressé, tandis que nous évoluons avec des réglages similaires à ceux de l’an dernier et cela n’est pas suffisant. C’est frustrant, mais j’ai donné le meilleur de moi-même sur la moto et je n’ai rien à regretter. Ce n’est clairement pas la place où nous devons terminer. En Aragón, nous travaillerons d’arrache-pied pour trouver des solutions. Des essais seront prévus après le rendez-vous à Assen durant lesquels nous testerons de nouveaux éléments, mais d’ici là, nous devons nous armer de patience. »