MotoGP Aragon-1 J1 Andrea Dovizioso (Ducati/13):  » Déçu mais confiant pour demain »

Au terme de cette première journée de séances libres sur le tracé d’Aragon, à l’occasion de la 10e manche du championnat du monde, Andrea Dovizioso est rentré dans son box la mine déconfite avec sa 13e position obtenue. Un piètre résultat sur un piste jugée pourtant favorable à la Desmosedici et qui l’a vu monter sur la seconde marche du podium l’an passé…le cocktail raté pneus-température-vent serait l’explication à la déconvenue du jour pour le pilote Italien. 

Andrea Dovizioso occupe actuellement le 3e rang au classement du championnat du monde derrière Fabio Quartararo qui en occupe la tête suivi de Joan Mir, son dauphin. DesmoDovi comptabilise 18 points de retard. Rien n’est cependant encore perdu. Ce week-end espagnol pourrait être ainsi l’occasion pour le coéquipier de Danilo Petrucci, de se refaire.. et gratter des points pour le championnat sur une piste qui apprécie les belles rouges de Borgo Panigale. Rappelons ainsi que l’an passé l’officiel Ducati avait fini 2e de la course derrière Marc Marquez.

Celui qui n’a toujours pas de guidon à l’aune de la saison 2021 commente sa journée: « Malheureusement, comme je l’ai dit hier, il est difficile de faire le choix de pneus appropriés sur un asphalte très froid. Aujourd’hui c’était quelque chose de crucial. Nous avons souffert des basses températures et nous ne sommes pas parvenus à faire monter les pneus en température. Le vent a aussi été une facteur aggravant, je ne sais pas dans quelle mesure, nous comprendrons mieux cela demain. je suis tout de même convaincu que nous pouvons nous améliorer, l’écart est grand mais à mon avis ce n’est pas réel« .

Pour conclure, Andrea évoque la positivité  à la Covid-19 du « Doctor » qui reviendra aux affaires à une date sine die:
«Je ne connais pas la dynamique de ce qui est arrivé à Valentino Rossi, je sais juste que nous essayons toujours d’être prudents, de suivre les règles, mais nous n’avons pas la situation sous contrôle, personne. J’essaie toujours d’être prudent, mais je ne le vis pas avec anxiété, même si par exemple le jeudi je ne peux pas parler avec l’équipe, il y a des protocoles très stricts. Quant à Tony Arbolino, cela me semble une situation excessive, mais même là-dessus je ne veux pas pointer du doigt car je ne connais pas tous les détails« .

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