MotoGP, Marc Márquez : « Ducati ? Il ne faut jamais dire jamais »

Marc Márquez rappelle que ce qui est improbable n’est pas impossible. Alors qu’il se prépare à sortir de son confinement avec, en tête, un début de saison promis pour le 19 juillet à Jerez, l’officiel Honda passe en revue les scénarios les plus originaux. Pour mieux entretenir l’espoir et le doute.

Marc Márquez était un invité de #CasaSkySport et connecté de sa résidence en Espagne, il a échangé avec les fans en répondant aux questions les plus originales. Ainsi, celui qui a signé jusqu’en 2024 avec Honda, a reconnu avoir été approché par Ducati. Ce contrat de quatre ans avec la HRC ferme-t-il définitivement la porte à un avenir en rouge ? « J’ai 27 ans, j’ai un contrat de quatre ans. Il ne faut jamais dire jamais. J’ai entendu des gens dire que je devais aussi gagner avec une autre moto, mais j’ai fait un choix de cœur. Honda m’a donné l’opportunité de passer en Moto2 et de gagner. J’ai entendu parler de Ducati, qui a demandé des informations, mais le projet Honda était le meilleur d’un point de vue sportif. Pour le moment, je dis non, mais à l’avenir, on ne sait jamais. »

A Borgo Panigale, on peut donc garder espoir. L’octuple Champion du Monde a aussi précisé que du passé pouvait naître un autre futur… Ainsi avec Valentino Rossi et Jorge Lorenzo, qui se sont retrouvés sous l’auvent Yamaha : « pour le MotoGP, ce serait fantastique de voir Valentino et Lorenzo comme coéquipiers. Avec Pedrosa, ce sont de grands pilotes que les fans aiment. Quand une de leurs carrières se termine, ce n’est jamais beau. Mais les âges passent. »

Marc Márquez vivra un moment particulier cette saison en partageant son box avec son frère : « nous sommes aussi des coéquipiers et donc il y a de la compétition. C’est difficile parce que votre partenaire est votre premier adversaire. Il est difficile de comprendre son niveau, car nous n’avons pas encore de preuve. C’est une recrue et sur le papier, je devrais être plus rapide, mais nous devons être professionnels dans le box. C’est une autre affaire à la maison » termine-t-il.