Très discrète, la mère de Marc et Álex Márquez a accepté de se confier dans un documentaire diffusé par la chaîne espagnole DAZN.
Les Márquez ont toujours affiché une relation très fusionnelle. Les deux frères, Marc et Álex, n’ont cessé de se soutenir l’un l’autre en venant se féliciter dans le parc fermé ou en célébrant leurs titres en piste. Il y a également leur père, Juliá, qui les suit sur les Grands Prix et qui est assez connu du public puisqu’il apparaît très souvent sur les écrans durant les courses.
Et puis il y a leur mère, Roser Alentá, très discrète et peu présente sur les circuits. Elle s’exprime peu dans les médias et beaucoup ne connaissent pas son visage. Pourtant, elle a accepté de se confier à DAZN, chaîne de streaming espagnole, qui a décidé de mettre à l’honneur les mères des grands sportifs dans une série de documentaires.
Bien que non disponible en France, des extraits ont été diffusés et ont permis d’en découvrir un peu plus sur le point de vue de cette femme de l’ombre, qui est un pilier dans la vie de l’octuple et du double Champions du monde. Marc et Álex ont également participé au documentaire afin de retracer leur parcours, commenté par Roser.
« Me souvenir de ces moments de mon enfance a été spécial. Nous vivons beaucoup au jour le jour et c’est agréable de s’arrêter un peu et de revivre ces instants », a déclaré Marc. « C’est très émouvant de revenir en arrière pour voir comment ils ont grandi et ce qu’ils ont réalisé, et voir que, malgré le temps qui passe ou les titres, les deux sont toujours les mêmes et n’ont pas du tout changé dans leur relation ni avec leur famille et leurs amis », a ajouté sa mère.
Une mère discrète, donc, et qui ne vient qu’à très peu de courses chaque année. Les yeux rivés sur l’écran, il lui est impossible de sortir voir la course en vrai, comme elle l’a avoué : « Une fois, Álex m’a menti et m’a emmenée en scooter voir Marc [en bord de piste]. Je suis devenue tellement nerveuse que je me suis mise à pleurer. »
« Ce n’est pas facile de voir ses fils courir à 300 km/h sur un circuit », a-t-elle poursuivi. « Je veux juste qu’ils ne tombent pas. Mais en tant que mère, je les soutiendrai toujours dans tout ce qu’ils souhaiteront entreprendre. »
