La saison 2025 de MotoGP s’annonce explosive avec 23 pilotes prêts à faire chauffer l’asphalte sur 22 circuits. Mais derrière les duels en piste, il y a un autre classement qui fait jaser : celui du salaire. Entre stars bankables et rookies fauchés, les chiffres dévoilent une grille aussi variée que les styles de pilotage. Ça va du jackpot à la petite monnaie !
La saison 2025 de MotoGP s’annonce intense avec 23 pilotes prêts à s’affronter sur 22 circuits. Mais derrière les exploits en piste se cachent d’importantes disparités salariales, reflet du statut et de la valeur marchande des pilotes.
Fabio Quartararo domine cette hiérarchie financière avec un salaire annuel de 12 millions d’euros, récompensant sa fidélité à Yamaha malgré les difficultés de la marque. Derrière lui, Marc Marquez, pour sa première saison complète chez Ducati, percevra 9 millions d’euros. Le champion en titre Francesco Bagnaia complète le podium avec 7 millions d’euros, confirmant son statut de double champion du monde.
Malgré son titre de champion 2024, Jorge Martin n’a pas bénéficié d’un contrat aussi lucratif en quittant Ducati pour Aprilia. Il se retrouve quatrième avec 4,1 millions d’euros, à peine devant Johann Zarco (Honda) et Maverick Viñales (KTM), qui émargent à 4 millions d’euros chacun.
Salaire : Fabio Quartararo, le mieux payé, Johann Zarco dans le top 6
Derrière eux, Jack Miller (Yamaha) et Joan Mir (Honda) perçoivent 3 millions d’euros, tandis que la jeune star Pedro Acosta (KTM) poursuit sa carrière en MotoGP avec 1,5 million d’euros. Ce serait donc moins bien qu’un Aleix Espargaró étonnamment dans la liste et à présent pilote test Honda.
Les écarts de rémunération sont frappants : à l’opposé du classement, Fabio Di Giannantonio (Ducati) et Luca Marini (Honda) ne touchent « que » 400 000 euros, tandis que les rookies comme Fermin Aldeguer (Ducati) doivent se contenter de 300 000 euros.
Avec un rapport de 1 à 40 entre le mieux payé et le moins bien rémunéré, la grille MotoGP 2025 illustre les inégalités du paddock. Ces montants ne prennent cependant pas en compte les primes de résultats et les revenus publicitaires, qui peuvent considérablement gonfler les gains des stars du championnat. Voici le classement établi par le site bien nommé sportune :