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Miguel Oliveira

Après une première journée marquée par de nombreux accidents au Sachsenring, Miguel Oliveira a partagé ses réflexions sur les raisons derrière ces chutes fréquentes et son propre progrès avec sa moto.

« Les nombreuses chutes ? C’est la faute de la configuration de la piste » a commenté le pilote portugais. Il a souligné que la conception du circuit, avec ses nombreux virages à gauche et quelques-uns à droite, complique la gestion du freinage. « C’est un peu plus énigmatique, c’est difficile de gérer le freinage quand tu dois passer d’un composé plus rigide à un composé plus tendre, donc les virages 1 et 11 sont également difficiles, ils sont très rapides, vous ne pouvez pas mettre beaucoup de d’angle dans ces virages dans le pneu pour les négocier ».

Malgré les défis de la piste, Oliveira a noté une amélioration de sa performance depuis Assen. « Nous avons fait un petit pas avec la moto, d’Assen jusqu’ici nous avons analysé ce qui me manquait pour faire la différence » a-t-il expliqué.

Miguel Oliveira : « avec les softs je me sentais bien, mais avec les drapeaux jaunes je n’ai pas pu m’améliorer »

Il trouve particulièrement difficile d’utiliser le frein arrière dans les virages à droite, mais il se sent plus à l’aise dans les virages à gauche. « Il faut juste continuer à travailler. Cet après-midi avec les softs je me sentais bien, mais avec les drapeaux jaunes je n’ai pas pu m’améliorer ».

En dehors de ses performances actuelles, Oliveira a également exprimé son intérêt pour l’avenir, notamment avec l’équipe Pramac-Yamaha. « Je m’intéresse à Pramac-Yamaha, c’est un projet intéressant dans une équipe qui gagne » a-t-il déclaré. Il voit cette opportunité comme une source de motivation, capable d’apporter une nouvelle philosophie et une perspective différente à Yamaha et à ses pilotes. « La motivation que cela peut donner aux pilotes de cette équipe et à Yamaha est une nouvelle perspective ».

Miguel Oliveira reste optimiste malgré les difficultés rencontrées lors de cette première journée au Sachsenring. Son analyse des conditions de piste et son intérêt pour de nouveaux défis montrent que juste avant la trêve estivale qui sera prononcée au terme de cette échéance allemande du calendrier MotoGP, il veut marquer les esprits pour s’assurer d’un avenir en 2025 dans la catégorie.

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MotoGP, Sachsenring J1 : chronos

 

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