pub
Baz

La tâche de Loris Baz à Mid-Ohio n’était pas aisée, mais ce dernier a parfaitement rempli son contrat en début de week-end. Alors qu’il s’engageait en MotoAmerica sur un tracé qui lui était inconnu, il a fait forte impression en Qualifications. Les courses du week-end ne se sont cependant pas déroulées de la meilleure manière.

Deuxième du classement combiné des séances qualificatives à Mid-Ohio, Loris Baz avait tout pour conclure le week-end en beauté. La Course 1 du Français fut cependant infructueuse outre-Atlantique, et une erreur de pilotage l’a envoyée au tapis, le contraignant à l’abandon.

Ce genre de chose arrive à tout pilote de moto engagé en compétition au cours d’une carrière. Cette donnée n’a cependant pas servi à apaiser Loris Baz qui a tenu à présenter ses excuses publiquement.

Après mon erreur d’hier, je ne peux que m’excuser auprès de mes amis de Warhorse Racing, publiait le Tricolore sur son compte Instagram dimanche dernier. Je n’ai jamais eu autant honte de ma vie ! Mais comme personne n’aime vivre dans le passé, je devais me concentrer sur la suite du week-end. Nous avons repris la course et nous avons fait une belle manche. »

Le pilote Ducati gardera néanmoins un goût amer de ce week-end, alors qu’il explique que sa Panigale V4 n’avait jamais été aussi performante auparavant. Une machine que son équipier est parvenu à exploiter à merveille en remportant les deux courses du week-end à Mid-Ohio.

« C’est la meilleure moto que j’ai pilotée depuis le début de la saison, poursuit-il. Merci à tous les gars pour la grosse mise à jour depuis la dernière course, nous n’avons pas besoin de beaucoup plus pour être en tête. Félicitations à mon pote Josh Herrin qui domine cette saison ! »

Ce n’est toutefois que partie remise pour Loris Baz, qui partait avec le désavantage de ne jamais avoir roulé sur le tracé, ce qui ne sera pas le cas à Austin, lors de la prochaine manche du championnat de MotoAmerica.

« Il y avait tellement de fans ici, c’était super de rouler à Mid-Ohio. J’adore cet endroit, mais j’ai également déjà hâte d’être de retour au COTA » conclut Loris Baz.

Baz